Le cri de Tarzan résonne chaque heure place Sainte Catherine : c’est le volet public de l’exposition monographique que la CENTRALE for contemporary art consacre à Emilio López-Menchero. Ce cri interpelle et il appelle à visiter à une rétrospective de son œuvre, ou plutôt un jeu avec la rétrospective (la question n’est pas ici d’ordre historique) qui met en exergue le réseau de liens qui constitue l’œuvre de l’artiste. Au centre de tout cela, un jeu avec le corps : le corps normé, le corps agité, le corps identifié et le corps fantasmé.
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